Depuis 2003, notre cabinet développe une pratique volontairement équilibrée de la justice prud’homale, en accompagnant aussi bien les employeurs que les salariés. Cette double expertise, exigeante, constitue l’un de nos atouts majeurs : comprendre les attentes, les stratégies et les contraintes de chaque partie permet d’anticiper, de répondre avec précision et d’agir avec une efficacité accrue dans tous les contentieux. Cette vision d’ensemble met en lumière un point commun à toutes les affaires que nous traitons : la justice prud’homale souffre de délais qui dépassent trop souvent le raisonnable.
 
Malgré les réformes destinées à moderniser la procédure et malgré le développement des modes alternatifs de règlement des différends, les délais restent durablement élevés. Le manque de moyens et les outils numériques insuffisants expliquent en grande partie cette persistance.
 
Les conséquences, elles, sont immédiates.
​- Pour les entreprises : des provisions prolongées et un coût financier généré par les intérêts.
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- Pour les salariés : des retards d’indemnisation pouvant fragiliser une situation personnelle.
 
Le droit prévoit pourtant un dispositif clair : la responsabilité de l’État en cas de dépassement du délai raisonnable.
 
En 2021, 1,9 million d’euros ont été versés à ce titre (Cour des comptes, 2021). Ce recours demeure largement méconnu.
 
Nous l’appliquons de manière simple et structurée :
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- Il est intégré à nos conventions d’honoraires lorsque nous assurons la conduite de votre contentieux ;
- Il peut être engagé une fois votre affaire close, si les conditions le permettent.
 
Aucune posture. Aucun appel collectif.
Uniquement l’exercice d’un droit individuel, destiné à réparer un préjudice que vous avez personnellement subi du fait de la durée excessive de la procédure.
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MD-AVOCATS
Diane MACCAGNO
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